samedi 2 août 2014

[critique] Transformers 4 : L'age de l'extinction, une œuvre plus espiègle qu'elle semble l'indiqué.

Il semble que Michael Bay est une ambition de changer, sont dernier film ne contredis pas la tendance, et oui. Le dernier Transformer n'est pas un mauvais film.

Après "No Pain No Gain" sorte de film d'auteur acide envers l'Amérique du roi du montage épileptique. Transformer 4 suis cette "tendance", se placent dans un contexte de tension, l'humanité se relève tant bien que mal après la bataille de Chicago (voir Transformer 3) et les Transformer, tous autant qu'ils sont, sont traqué est tuée, sans distinction, le vrais méchant de ce film, c'est nous, l'Humanité.

Mais Transformer reste Transformer, humour gras et cliché lourdaud sont au rendez-vous, jusqu'à en devenir une caricature, est c'est bien ce qu'est-ce dernier film, (préparez-vous bien) une critique masquée des blockbusters actuelle. Le vice est poussé jusqu'à l'écœurement, des ralentis exagérés, en passant sur les placements de produit putassier jusqu'au plan éclatant sur 
le drapeau du pays de la consommation (furtif en habitude), d'ailleurs, les protagonistes principaux, sont des américains exemplaires, mais très modestes, jusqu'à ne pas en payer sont loyer et voler le courant à un poteau électrique.

Finalement, Transformer 4, c'est un peu de la grosse flagellation que s'inflige Michael Bay sur sa propre licence. Who, un blockbuster américain qui fait de l'auto dérision ? Mais sans non plus dénaturalisé la saga, effet kitch et baroque, style très publicitaire, scène d'action à rallonge, les fans seront aux anges et les néophytes verront un honnête divertissement bien plus sombre que l'aurait laissé penser le titre évocateur.

En plus de cela, cette écorchure dans le paysage Hollywoodien actuel se paye le droit d'être un honnête film de science fiction avec des thèmes aussi variée est intéressent que la biogénétique, la création de l'humanité ou l'holocauste (oui, oui, on parle du même film).
Tout en y allant à fond autant au niveau du scénario que dans le désigne général.

Il est très difficile de définir ce nouveau film, ou même de le juger voir de le noter, reste à savoir que si vous êtes bien accroché pour ce feu d'artifice ambiguë un peu long tout de même (2h40), ce trip totalement assumé est pour vous.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire